» Or, le gouvernement n’a rien exigé de tel d’Uber qui continue allègrement ses activités illégales au Québec, activités devant lesquelles le gouvernement ne prend pas action. Alors qu’il ne peut que se rendre compte qu’il a signé un contrat «mal foutu», le gouvernement a le devoir d’agir dans le contexte de la situation actuelle. »
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